Chance encounter [Pv La grande Déesse]

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Candy & Joan

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Tu n'a peur de rien, tu n'as peur de personne.
Sauf de toi-même. C'est la pire de toutes les peurs.

Oui, je vais aller dans les cachots, ça va être génial............. Idiote !

Les classes lui étaient désormais interdites, si elle voulait fumer. Everleigh patrouillait et, si elle la trouvait une cigarette à la bouche, Joan pourrait dire au revoir à sa sortie. Alors voilà, elle avait cherché un nouveau lieu. Rien ne lui était venu de mieux que les cachots... Ca lui avait même paru une super idée. Et maintenant elle était là, à éviter les toiles d’araignées et à chercher un coin où elle pourrait s’assoire. Que lui était-il passé pa rla tête à se moment là ? Elle n’en savait rien. Mais bon, maintenant qu’elle était là, elle n’allait pas reculer, c’était un peu tard.

Elle regarda donc pour la énième fois autour d’elle, cherchant un coin propre ou à peu près... Et puis ses yeux tombèrent sur les grilles. A quoi pouvaient donc servir des grilles comme ça à la Crypte ? Ils enfermaient les élèves ? Elle n’avait jamais entendu parler d’une chose pareille. Non, il devait y avoir une autre raison. Peut-être que c’était une prison, avant ? Dalleur, ça ne serait pas étonnant. Ca expliquerait pourquoi ils sont tous si accrocs à la discipline. Ce sont tous des anciens gardiens de prisons.

Bien sur, elle était bien loin de la vérité, mais qu’est-ce que ça lui faisait plaisir de se défouler un peu dans son esprit en rejetant la faute sur les autres, en leur trouvant des tonnes de défaut...

Voilà un petit moment qu’elle marche dans le noir total, elle n’a aucune idée de l’endroit où elle est exactement... Mais est-ce vraiment important ? Oui. Elle ne veut pas se perdre et avoir besoins d’aide pour rentrer. Il lui faut donc de la lumière. Elle sort un paquet de cigarette, en met une dans sa bouche, cherche son briquet et le trouve rapidement. Elle l’allume et enflamme le bout de sa cigarette. Elle tire une bouffée, les yeux fermés. Elle avale la fumée, soupire puis rouvre les yeux.

Autour d’elle, il n’y a toujours rien. C’était vraiment idiot de venir ici. Enfin pas tout a fait. Maintenant elle savait à quoi ressemblait cet endroit. Ca pouvait être intéressant... Si elle avait envie de faire peur à quelqu’un... Parce que oui, même si elle n’avait pas peur, ça pouvait facilement effrayer des ptits bleus.

Finalement, elle décide de rentrer. C’est nul ici. Elle préfère sortir en douce et aller sur la plage. Cependant, sur les escaliers pour remonter, elle entend un bruit derrière elle. Sourcil froncée, elle se retourne.

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Je n’aime pas être espionnée.

Elle lance un regard foudroyant destiné au coupable, tout en remettant sa cigarette dans sa bouche. Un autre aurait eu peur d’un fantôme et serait partit en courant. Pas elle. Elle n’a peur de rien. Si quelqu’un veut l’énerver, qu’il se montre et il verra. Que se soit une personne réelle, ou non.

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Encore un jour comme les autres, enfin presque, aujourd’hui pas de cours, pas de chose particulière en vue. Bref une journée ordinaire et qui s’annonçait vraiment banale et ennuyante. Candice n’aimant pas s’ennuyer et rester à ne rien faire lui convenait cinq minutes et pas plus. Il lui fallait donc chercher quoi faire, bien évidement la première idée qui lui passa par la tête était de trouver une proie. Oui une nouvelle proie, la voilà l’idée lumineuse qui germait dans son esprit. Elle regarda autour d’elle. Elle était assise sur un banc dans les jardins et venait de s’allumer une cigarette avec une telle nonchalance que s’en devenait une insulte destinée quiconque possédant un minimum de respect pour le règlement de la Crypte. Bien évidement Candice cherchait les embrouilles et ferait n’importe quoi pour attirer l’attention et générer une bonne petite embrouille ou elle pourrait jouer des poings. Mais il n’y avait personne, personne dans les environs ou en tout cas qui n’avait fait particulièrement attention à elle. Enfin assez attention pour l’échauffer et lui tendre la perche. Dépitée par tant d’invisibilité, elle se leva et commença à marcher laissant ses pas la guider vers un lieu indéfini dans son esprit. Ils l’emmenèrent vers les sous sols.

En chemin elle avait bien croisé deux ou trois personnes susceptibles d’attirer son attention, mais ils étaient tellement inintéressants qu’elle en était blasée avant d’avoir amorcé des reproches à sa proie. Oui sa proie, c’est ainsi qu’elle aimait appeler les âmes en peines sur lesquels elle tombait et à qui elle aimait faire des misères. Elle avait descendue les escaliers et s’était retrouvée face à…un microbe, oui cette définition correspondait tout à fait au môme qu’elle avait sous le nez. Petit, un peu trop prétentieux dans son regard au gout de la jeune femme. Elle lui aurait rit au nez s’il aurait commencé à faire son malin devant elle, mais voilà, elle s’approcha de lui et l’intimida avec quelques propos, en se tenant droite, en s’imposant. Elle jeta sa cigarette au sol et prit soin de l’écraser, il battit en retraite. Mais la jeune femme en chasseuse aguerrie ne voulait lâcher le morceau aussi rapidement, elle décida de changer de tactique. Elle s’approcha de lui et adoucit sa voix, elle lui dit des mots un peu plus doux, elle se montra sous son meilleur jour, elle joua sa séductrice à un gamin qui avait bien trois ans de moins qu’elle. Il était tellement tendu qu’elle décida de jouer encore plus le jeu, de l’amadouer, de lui faire croire qu’il lui plaisait tellement. Complètement stupide n’est-ce pas ? N’importe qui dans cet établissement aurait comprit que ce n’étaient que des paroles, mais l’adolescent ne devait pas avoir dans son pédigrée de choses comme, viol, harcèlement sexuel et j’en passe, ou alors il la trouvait un peu charmante, allons savoir. Il finit par tomber dans son filet. Ils s’embrassèrent, bien que la jeune femme en soit dégoûtée, elle n’avait pas vraiment le choix. Elle l’entraîna par la première porte qu’elle avait sous la main, elle finit dans les cachots. Et là, seule avec lui elle cessa de jouer, ses yeux se froncèrent et ses pupilles se dilatèrent, elle sera les points et pris une voix mielleuse pour se moquer de lui.

-Alors comme ça tu te laisse faire par la première venue ? Tu es tellement pathétique !

Elle leva alors le point et le frappa dans le ventre.

-Endurcit toi espèce de larve !

Un autre coup.

-Tu crois que je ne t’ai pas vu brutaliser Dora ? Tu crois que je ne sais pas que tu l’humilie dès que tu peux ? Tu crois qu’elle est assez stupide pour tout garder pour elle ? Mais ce que tu ne sais pas c’est que je sais tout d’elle, elle ne me cache rien !

Chacune paroles étaient ponctuées par une pluie de coup. Elle était tellement révoltée contre lui, qu’elle n’arrivait se contrôler. Finalement elle se reprit sous ses gémissements et les quelques coups dérisoires qu’elle recevait.

-Dégage ! Mais si tu t’approche d’elle ou si tu me balance, je te tue de mes propres mains !

Sur ce elle le releva brutalement et le poussa violement vers la porte. Elle ne s’assura même pas qu’il soit bien sortit, elle s’enfonça dans la pénombre et s’appuya contre le mur. Elle se massa le poignet, il la faisait souffrir ses derniers temps, ce n’était pas le top pour frapper un petit malin, mais qu’est-ce qu’elle avait pu se défouler !

-Au moins, Dora sera tranquille.

La voilà qui parlait toute seule, elle devenait vraiment folle la pauvre. Et puis elle finit par se calmer, ainsi que les battements de son cœur, elle se demanda pourquoi elle s’était attaquée à lui à part cette histoire avec la petite. Après tout c’était le pur hasard qu’elle soit tombée sur lui, elle ne le cherchait pas vraiment, et puis cette histoire lui était sortie de la tête jusqu’à ce qu’elle le revoie. Le destin faisait parfois bien les choses mine de rien.
Alors qu’elle se posait des questions sur son acte, elle entendit des pas et un frottement, elle leva la tête et vit une personne lui passer devant, surement encore un égarer ou des amoureux transit, elle verrait certainement passer une autre personne. Mais le temps s’écoula et Candice se décida à ressortir, elle commençait à étouffer dans le noir et entre ses murs poisseux et humide. Et puis si elle tombait sur une araignée, elle ferait surement une crise de nerf. Elle se dirigea vers la sortie et entendit du bruit, elle ne fit pas le rapprochement avec la personne qu’elle avait entre-aperçut juste avant, elle entendit simplement ses paroles.

-Je n’aime pas être espionnée.

Alors Candice sourit et s’approcha. Elle regarda la personne qui venait de parler et lui sourit.

-Je te rassure moi non plus et si tu n’aurais pas parlé, je n’aurais jamais su que tu avais été là.

Elle s’approcha encore, plus pour sortir que pour vraiment lier connaissance, mais pourquoi pas après tout. Elle regarda la femme blonde qui se tenait devant elle, elle était très jolie, rien à redire là-dessus.

-Candice Koll, enfin si sa t’intéresse, mais j’aime bien savoir à qui je parle, donc j’imagine que c’est pareil pour les autres.

Elle alluma une autre cigarette qui éclaira vaguement son visage. Mais elle ne fit absolument pas cas du regard meurtrier que son interlocutrice avait envoyé à l’aveuglette.

Un confrère est un personnage sans aucun talent qui fait,
inexplicablement, le même métier que vous.

La fille qui sortit du noir avait environs son âge, cheveux court, noir, plutôt jolie... Son look était dans la norme de l’établissement : déjanté, plutôt rock... Une fille qui aurait visiblement eut une très bonne place dans l’unité B. Mais elle ne faisait pas partit de cette unité, sinon elle aurait connu son nom. On connaissait son nom dans toute l’unité. Joan. La Joan.
Avalant la fumée de sa cigarette, elle hausse un sourcil tout en parlant à la fille. « Candice » a priori.

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Si tu veux tout savoir, je m’en fous. Mais bon, maintenant que tu t’es présentée, moi c’est Joan.

Retirant la cigarette de sa bouche, elle replace sa mèche contre son oreille. Pour quoi lui a-t-elle répondue ? Se n’est pas dans son habitude pourtant... Peut-être parce que, dans sa manière d’allumer sa cigarette, son expression, sa façon de parler... Elle a l’impression de rencontrer une collègue. Novice, peut-être, mais tout de même une collègue. Une collègue de connerie. Une fille qui aurait tout a fait sa place dans l’Unité B.

Il lui faudrait peut-être quelques leçons, pour devenir une vraie, une dur à cuire... Elle avait déjà le look, mais il lui manquait le petit truc, dans la façon de parler. Déjà, elle en racontait trop, ça c’était bon pour les bavards... Ensuite, elle donnait l’impression de s’excuser, se qui n’était pas très recommandé. Oui, elle lui apprendrait... Elle allait la mettre dans sa poche, puis elle lui apprendrait a être une vraie.

Haha !

Si Everleight apprenait ça, elle la tuerait probablement. Voilà que, en plus de ne pas vouloir remonter et de rester dans ses petites magouilles, elle envisageait de tirer quelqu’un d’autre vers le fond. Au non, ça ne plairait pas du tout à Ever ça...

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Alors, qu’est-ce qu’une fille comme toi fous ici ?.

L’appâter, tout d’abord. Lui montrer qu’elle a encore à apprendre. Que quelqu’un pouvait lui apprendre... Qu’elle pouvait lui apprendre. Voudrait-elle? Peut-être Candice n'est-elle pas la fille que Joan s'est imaginée........... Elle allait bientôt le savoir.

Candice prenait bien son temps pour détailler la personne en face d’elle, n’empêche elle en valait la peine, une touche de beauté, mais surement un caractère de cochon ou une brute complètement finie. Dieu, sur quoi était-elle encore tombée ? Il y avait vraiment des cas désespéré ici. Cela lui donna l’impression d’étouffer, elle voulait sortir, partir, elle voulait fuir, retourner dans la rue qui était son habitat, son terrain de jeu, mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait laisser sa sœur ici, elle ne pouvait retourner voir ses parents, elle deviendrait une hors la loi. Elle ne voulait pas d’une vie de truand, à se cacher, à fuir et avoir peur, elle voulait être une personne bien, libre et peut être fondé une famille…si quelqu’un pourrait un jour l’accepter avec ses défauts, son passé et son casier.

Bref tout tourbillonnais dans sa tête, elle se sentie prise de vertige, elle choisit donc l’option de s’appuyer de façon nonchalante contre le mur, tout en fumant sa cigarette qui la réconfortait plus qu’autre chose et la calmait légèrement.

Elle écouta cette fille un peu trop sur d’elle, un peu trop chercheuse de merde à son goût et haussa un sourcil l’air je m’en foutiste à l’énonciation du prénom. Après tout, elle s’en fichait royalement de son prénom, quel idée de s’être présentée. Maintenant elle pourrait s’attirer des emmerdes d’une façon tellement simpliste...

*Quel conne je fais parfois…*

De sa main gauche, elle la passa dans ses cheveux, puis remit une mèche rebelle, enfin la seule mèche rebelle qu’elle avait derrière son oreille, elle ne la supportait pas celle là, mais si elle la coupait…sa ferait vraiment pas beau du tout. Et puis elle avait un minimum de coquetterie la demoiselle Koll.

Toujours appuyée contre son mur, la cigarette au bec, fumant comme elle respire, elle ne quittait pas la blonde des yeux, après tout, on ne tourne jamais le dos à un ennemi potentiel, règle numéro un dans la rue. Elle aurait pu rester longtemps à la regarder, essayer de savoir ce qu’elle pouvait diablement foutre ici et pourquoi elle ne fichait pas le camp, mais la blondinette reprit la parole, ce qui étonna Candice vu qu’elle lui avait plutôt répondu avec une sorte de hargne et de « tu me fait chier fout moi la paix » tout à l’heure.

Voilà qu’elle voulait savoir ce qu’elle faisait ici, non mais elle se prenait pour qui ? Pour sa mère à vouloir la surveiller ? Ou à Everleigh qui lui faisait des pieds et des mains pour lui apprendre les bonnes manières ?

-Ça te regarde ?

Hargne non dissimulée dans ses propos, méfiance également et lassitude de ne pas la voir partir.

-Je te retourne la question, vu que t’y es jamais venue auparavant.

Eh oui, Candie était une habituée des cachots, elle adorait venir brutaliser des emmerdeurs de premières, régler ses comptes et surtout être seule, car le point positif avec les cachots, c’était que personne n’y venait puisqu’il n’y en avait pas d’utilité. Mais voilà, Candice n’étant pas tout ce qu’il y a de plus normal sur terre, elle aimait passer du temps ici et se faire des petites frayeurs, genre… « Une araignée ! » Si vous ne comprenez pas, c’est simplement que sa ne vous regarde pas, Mais bon, je précise, Candice à la phobie de ses petites bêtes. On a tous des points faibles dans la vie. C’est la vie !

La réputation n'est qu'un éclair au milieu de la nuit.
Mais c'est cet éclair qui est tout.

Elle n’est peut-être pas si gourde finalement. Ou bien en tout cas, elle le cache bien. Elle a juste assez de hargne dans la voix... Juste assez pour espérer faire reculer un première année. Mais Joan n’est pas une première année. Et elle n’est pas décidée à reculer. Elle a trouvé une nouvelle cible, elle ne compte pas la lâcher. Après tout, vous connaissez beaucoup de serpents qui reculent face à une souris ? Non, aucun ! Alors Joan non plus. C’est tout.

La quatrième année aurait presque pu apprécier sa proie, elle lui trouve en effet un certain talent pour l’art qui est le sien. Le seul problème c’est que... Et bien, elle ne sait pas s’arrêter quand il le faut. Reculer ou bien s’arrêter. S’arrêter devant ses énnes, ceux qui lui sont supérieur. Ceux qui peuvent lui en faire voir de toutes les couleurs, et ce quelque soit sa sois disante force.

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Je fais se que je veux, quand je le veux. Et je n’ai pas besoins de l’accord d’une première année.

Bien sur, elle sait que Candice n’est pas en première année. Mais avec cette phrase, elle souhaite lui rappeler qu’elle est inférieure, qu’elle lui doit un minimum de respect. Il y a toujours une certaine hiérarchie, même parmi les méchants. Sinon, ce serait l’anarchie. Après tout, même elle a un supérieur. Alexia Connelly. Mais c’est une autre histoire...

Il est plus que temps de montrer à cette petite qui elle est. Joan ne peut pas se permettre de la laisser jouer les durs avec elle. Elle a une réputation à tenir. Si on apprend qu’elle se laisse marcher sur les pieds, rien n’ira plus pour elle. Et il faut agir avant que la petite n’ait pris trop d’assurance. Avant qu’elle se croie vraiment supérieur. Pour l’instant, elle a tenté quelque chose. Il faut casser la coquille maintenant.

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Bon. Tu t’es bien amusée à jouer les durs, c’est bien. Mais avec moi, ça prend pas. Avant d’essayer, renseigne toi pour savoir à qui tu t’adresses.

De toute façon, elle sait obligatoirement qui elle est. Tout le monde la connaît à la Crypte. Il faut juste qu’elle se rappel se qu’on lui a sûrement chuchotée, tard le soir. Ou bien les rumeurs qu’elle a sûrement entendu sur un deuxième année qui aurait eu un petit souci dans les vestiaires.

Candice n’aimait que moyennement taper la discutions avec des étrangers, surtout quand ils étaient hautains et qu’elle ne savait pas comment se comporter. De peur de s’en prendre une sans l’avoir vue arriver et savoir pourquoi elle l’avait méritée. Mais voilà elle avait envie de comprendre pourquoi celle qui lui tenait tête…ben…lui tenait tête et surtout pourquoi elle se montrait aussi hautaine que si elle pétait plus haut que son cul…expression que Candice reprenait avec plaisir chaque fois qu’elle en sentait l’envie. Bref, revenons à notre cas.

Candice ne supportait pas qu’on lui tienne tête alors qu’il n’y avait pas de raison, juste pour dire « Je suis meilleure que toi alors tait toi ! ». En revanche les propos qu’elle tenait n’ont fait que démontrer que la blonde à fort caractère se trouvait dans la section B. Et même si le fait qu’elle passe pour une première année, la Candy n’en avait cure, elle avait bien comprit que la blondinette voulait l’irriter plus qu’autre chose. En revanche se dont elle se foutait royalement c’était de la pseudo hiérarchie que les gros dur voulaient donner et donc réduire en miette les petits inférieurs. Mais Candice était au courant de tout cela, n’avait-elle pas passé plus d’un mois en zone B. ? N’avait-elle pas fréquenté des tarrés de première qui voulaient asservir le monde toute son enfance ? C’est donc sur un ton très calme, avec un ton un peu ennuyé qu’elle lui répondit.

-Hé bien écoute si tu veux faire ce que tu veux, c’est ton droit, mais viens pas me faire chier avec tes questions et tes sermons à deux balles. J’ai pas à me renseigner sur une blonde qui se croit supérieure et qui se mêle de se qui ne la regarde pas.

Fin de la discutions. Candice s’était refermée. L’autre voulait faire sa fière, sa miss je sais tout et t’es qu’une merde ? Bien, elle n’avait qu’à jouer toute seule puisque c’était comme cela. Elle jeta sa cigarette au sol avec classe et style, passa une mèche derrière son oreille, haussa un sourcil en signe de dédain et tourna les talons. Oh elle ne sortit pas, même si elle en crevait d’envie, elle s’enfonça simplement dans le noir. Elle commençait à connaitre cet endroit et l’obscurité ne lui faisait pas peur. Sa seule angoisse ? Hurler à cause d’une araignée et que Jordan soit toujours là. Voilà, elle venait de retrouver son prénom. Un prénom un peu masculin, tout à fait idéal pour son caractère de cochon. C'était du moins ce qu'elle pensait par rapport à cette rencontre furtive. Mais pourquoi n'était-elle pas sortie ? Pourquoi restait-elle dans le noir ? Bonne question, surement...parce qu'elle n'en savait rien.

Navrée c'est court et sa met fin, mais à toi de voir si tu veux poursuivre, j'avais pas d'idées ><" Je peut toujours le refaire si jamais...